Buzz Web 2.0 - Elcantarion WebLog : Blog sur le Web 2.0, Google, les moteurs de recherche, Apple, Linux, Windows Vista, Internet et les TIC en général. This blog deals with buzz Web 2.0, Google & Search engines, Apple, Linux, Microsoft Vista, Internet and IT in general.
vendredi, janvier 18, 2008
jeudi, novembre 08, 2007
Le Blog de Pitshou Dilancray
Pitshou Dilancray disposera avant la fin de l'année d'un site Web complet.
mardi, octobre 30, 2007
Le "billet de Bob" sur la fermeture de Oink.cd
"Oink était un site réservé aux membres uniquement. Pour devenir membre vous deviez être invité par un membre. Les membres avaient accès à une base de données musicale sans précédent dirigée par la communauté. N'importe quel album auquel vous pouviez penser était à portée de clic. Les standards de qualité extrêmement élevés de Oink assuraient que tout sur le site était de qualité parfaite - des MP3 en 192kbps étaient leur grand minimum, et ils poussaient l'adoption de MP3 de bien meilleure qualité et des téléchargements des FLAC sans perdition. Ils vérifiaient dans les logs que la musique avait bien été rippée des CD sans aucun erreur. Les transcodages - des fichies encodés de fichiers déjà encodés, qui déteriorent la qualité, étaient formellement interdits. Vous aviez toujours la garantie d'avoir un fichier de meilleure qualité que celle d'iTunes ou de n'importe quelle boutique légale de MP3. Le ratio strict de téléchargement/partage sur Oink assurait que chaque album dans leur vaste base de données était toujours bien partagé, ce qui permettait des téléchargements plus rapides que n'importe où ailleurs sur Internet. Un album de 100 Mo pouvait être téléchargé en quelques secondes même sur une connexion moyenne. Oink était connu pour obtenir des albums en pre-release avant n'importe qui d'autres sur Internet, parfois des mois avant leur sortie officielle ; mais ils avaient aussi un catalogue étendu de musique qui remontait à des décennies, alimenté par des amateurs de musique qui retiraient de la fierté dans le fait d'uploader des perles rares de leur collection que d'autres utilisateurs demandaient. S'il y avait un album que vous ne pouviez pas trouver sur Oink, vous aviez simplement à en faire la demande, et attendre que quelqu'un qui l'avait accède à votre demande. Même si l'album demandé était extrêmement rare, le vaste réseau de centaines de milliers d'amateurs de musique sur Oink désireux de contribuer au site faisait en général en sorte que vous n'aviez pas besoin d'attendre bien longtemps".
"En ce sens, Oink n'était pas seulement un paradis absolu pour les fans de musique, c'était sans aucun doute le modèle de distribution de musique le plus complet et le plus efficace que le monde ait jamais connu. Je dis ça avec certitude et sans exagération. C'était comme le plus grand magasin de musique du monde, dont le catalogue largement supérieur et la distribution était entièrement stockés, fournis, organisés et étendus sur l'ensemble de ses clients. Si l'industrie musicale avait trouvé un moyen de capitaliser sur le pouvoir, la dévotion et l'innovation de ses propre fans de la façon dont Oink l'a fait, elle serait en train de prospérer en ce moment plutôt que de s'assécher. Si les lois sur la propriété intellectuelle n'avaient pas rendu Oink illicite, le créateur du site serait le nouveau Steve Jobs aujourd'hui. Il aurait révolutionné la distribution de la musique. A la place, c'est un criminel, simplement parce qu'il a trouvé la meilleure façon d'accéder aux demandes croissantes des consommateurs. J'aurais volontiers payer un abonnement mensuel pour un service légal aussi bon que celui de Oink ; mais aucun n'existait, parce que l'industrie musicale n'a jamais été capable de mettre de côté sa propre cupidité et sa propre connerie d'entreprise de côté pour rendre cela possible."
"Voici une parenthèse intéressante : la RIAA adore se plaindre du fait que les pirates de musique diffusent des albums sur Internet avant-même leur sortie dans les bacs, dépeignant ainsi de vilains pirates morts ensemble pour attaquer leur ennemie, l'industrie du disque. Mais vous savez d'où viennent les fuites ? De la putain de source, bien sûr : les labels ! La plupart des groupes savent qu'une fois que leur album achevé est envoyé au label, le risque de le voir apparaître en ligne commence, parce que les labels sont remplis d'employés sous-payés qui se trouvent être des fans de musique qui ne peuvent pas attendre de partager le nouvel album du groupe avec leurs amis. Si l'album parvient à ne pas fuiter directement du label, il est certain qu'il va être fuité une fois qu'il aura franchi les portes de l'usine. Quelqu'un a l'usine de duplication est toujours content de partir discrètement avec une copie, et peu de temps après, elle apparaît en ligne. Pourquoi ? Parce que les gens adorent la musique, et ils ne peuvent même pas attendre d'entendre le nouvel album de leur groupe favori ! Ca n'est pas une question de profit, et ça n'est pas de la malhonnêteté. Donc l'industrie du disque, peut-être que si vous protégiez un peu mieux vos actifs, cette merde ne fuirait pas. N'accusez pas les fans qui se précipitent sur le contenu fuité en ligne, accusez d'abord les gens qui sont en premier lieu responsables de ces fuites dans les usines de fabrication ! Mais à considérer que c'est un trou trop gros à boucher, ça nous conduit à une question : "pourquoi est-ce que les labels ne s'adaptent pas au changement de nature de la distribution en vendant les nouveaux albums en ligne aussitôt qu'ils sont terminés, avant-même qu'ils aient une chance d'être fuités, et ensuite sortir l'album sur CD deux mois plus tard ?". Bien, tout d'abord, les maisons de disques sont obsédées par les classements des ventes, ils sont obsédés par le fait de déterminer la valeur marchande de leur produit à partir des résulats de vente de la première semaine. Vendre l'album en ligne avant le lancement de la grande distribution, avant qu'ils aient eu des mois pour marketer le produit proprement pour assurer son succès, risquerait de chambouler ces chiffres (même si ces chiffres de toute façon ne veulent plus rien dire du tout). De plus, vendre un album en ligne avant qu'il n'arrive dans les magasins rend les grandes chaînes de distribution (qui souffrent aussi de tout cela) en colère, et les grandes chaînes de distribution ont beaucoup plus de pouvoir qu'elles ne le devraient. Par exemple, si une maison de disques sort un album en ligne mais que Wal-Mart n'a pas le CD dans ses rayons avant encore deux mois (parce qu'il faut le fabriquer), Wal-Mart se met en colère. Qui se fiche de savoir que Wal-Mart est en colère, me demanderez-vous ? Et bien, les maisons de disques s'en soucient, parce que Wal-Mart est, à la fois mystérieusement et tragiquement, le plus grand revendeur de musique au monde. Ca veut dire qu'ils ont du pouvoir et qu'ils peuvent dire "si vous vendez l'album de Britney Spears en ligne avant que nous ne puissions le vendre dans nos magasins, nous perdrons de l'argent. Donc si vous faites ça, nous ne mettrons pas son album du tout dans nos rayons, et alors c'est vous qui allez perdre BEAUCOUP d'argent". Ce genre de connerie rapace arrive tous les jours dans l'industrie du disque, et le résultat implacable c'est un service moins bon pour les consommateurs et pour les amateurs de musique".
Pour Bob, Oink permettait aux artistes eux-mêmes de se débarasser de la menace de Wal-Mart, et de profiter du formidable coup de pouce marketing que permettait la communauté. Car même si lui-même n'achetait pas forcémment tous les albums qu'il avait aimé et découvert sur Oink, rien que le fait de pouvoir en parler autour de lui et d'aller aux concerts générait des ventes et des revenus pour les groupes. La plupart des musiciens en étaient conscients. Il rappelle que contrairement à ce que l'IFPI a voulu faire croire, Oink était entièrement gratuit, sans publicité, et que seuls des dons volontaires permettaient de faire vivre le site en finançant les infrastructures. Si l'IFPI s'est battue contre, c'est uniquement parce qu'il permettait aux fans de remplacer les labels dans des rôles intermédiaires clés qui étaient encore indispensables pour les artistes, et qui ont permis aux maisons de disques pendant des décennies de faire des signer des contrats totalement déséquilibrés aux artistes. L'IFPI veut garder ce contrôle et se sert du droit d'auteur comme d'une arme.
Dégoûté par cette goutte d'eau qui fait déborder un vase déjà très plein, Bob considère maintenant que les majors sont finies, qu'elles vont "brûler sur le sol et [que] nous allons tous danser autour du feu". "Et c'est votre propre faute", dit-il aux majors. Après avoir pensé des années que la musique devait rester payante, parce qu'il a vu de l'intérieur qu'elle nécessitait de gros financements, il souhaite maintenant que la musique enregistrée soit réellement gratuite de façon à assécher tous les intermédiaires qui ont gagné énormément d'argent grâce à des oeuvres qu'ils n'avaient pas créées. "Peut-être que retirer l'argent de la musique est la seule façon de remettre de l'argent dans la musique", écrit-il.
Dans un message déjà très relayé, il demande aux internautes de boycotter totalement tous les albums produits et distribués par des majors (en se servant par exemple du site RIAA Radar), et de soutenir les artistes à travers tous leurs revenus parallèles merchandising, tournées, ...) et de simples soutiens amicaux. "Il est temps de montrer aux artistes qu'il n'y a pas de limite à ce qu'une communauté de fans en ligne peuvent accomplir, et tout ce qu'ils demanderont en retour c'est davantage de musique. Et il est aussi temps de montrer aux labels qu'ils ont manqué une chance énorme en ne saisissant pas les opportunités quand il était encore temps"
samedi, août 04, 2007
mardi, juillet 31, 2007
The Hacker Manifesto (1986)
Another one got caught today, it’s all over the papers. “Teenager Arrested in Computer Crime Scandal”, “Hacker Arrested after Bank Tampering”...
Damn kids. They’re all alike.
But did you, in your three-piece psychology and 1950’s technobrain, ever take a look behind the eyes of the hacker? Did you ever wonder what made him tick, what forces shaped him, what may have molded him?
I am a hacker, enter my world...
Mine is a world that begins with school... I’m smarter than most of the other kids, this crap they teach us bores me...
Damn underachiever. They’re all alike.
I’m in junior high or high school. I’ve listened to teachers explain for the fifteenth time how to reduce a fraction. I understand it. “No, Ms. Smith, I didn’t show my work. I did it in my head...”
Damn kid. Probably copied it. They’re all alike.
I made a discovery today. I found a computer. Wait a second, this is cool. It does what I want it to. If it makes a mistake, it’s because I screwed it up. Not because it doesn’t like me...
Or feels threatened by me...
Or thinks I’m a smart ass...
Or doesn’t like teaching and shouldn’t be here...
Damn kid. All he does is play games. They’re all alike.
And then it happened... a door opened to a world... rushing through the phone line like heroin through an addict’s veins, an electronic pulse is sent out, a refuge from the day-to-day incompetencies is sought... a board is found.
“This is it... this is where I belong...”
I know everyone here... even if I’ve never met them, never talked to them, may never hear from them again... I know you all...
Damn kid. Tying up the phone line again. They’re all alike...
You bet your ass we’re all alike... we’ve been spoon-fed baby food at school when we hungered for steak... the bits of meat that you did let slip through were pre-chewed and tasteless. We’ve been dominated by sadists, or ignored by the apathetic. The few that had something to teach found us willing pupils, but those few are like drops of water in the desert.
This is our world now... the world of the electron and the switch, the beauty of the baud. We make use of a service already existing without paying for what could be dirt-cheap if it wasn’t run by profiteering gluttons, and you call us criminals. We explore... and you call us criminals. We seek after knowledge... and you call us criminals. We exist without skin color, without nationality, without religious bias... and you call us criminals. You build atomic bombs, you wage wars, you murder, cheat, and lie to us and try to make us believe it’s for our own good, yet we’re the criminals.
Yes, I am a criminal. My crime is that of curiosity. My crime is that of judging people by what they say and think, not what they look like. My crime is that of outsmarting you, something that you will never forgive me for.
I am a hacker, and this is my manifesto. You may stop this individual, but you can’t stop us all... after all, we’re all alike.
vendredi, juillet 27, 2007
The Corporation : le premier film diffusé librement sur le p2p
The Corporation - Partie 1
The Corporation - Partie 2
The Corporation - Partie 3
Afin que ce genre d'initiative ai lieu le plus souvent possible, vous pouvez faire un don !
mardi, juillet 24, 2007
Atlas Internet Search infrastructure
a part of the Internet's infrastructure. Building on Atlas as an
open protocol, search can become a fully distributed and
interoperable world-wide community. All of the participants can
interact openly and in any role where they believe they can add value
to the network.
A search engine can be constructed from many independent entities
serving different roles instead of one monolithic system. These
entities are exchanging aggregate information, or knowledge, and can
decide with whom they want to work with. To design this working
economy based on knowledge, there must be balance between these
various entities. Each actor must have incentive to act both for
their own benefit and for the benefit of the whole, and enough
information to make and validate those decisions. Reputations and
relationships are the essential fabric of Atlas, just as they are in
a real-world free market.
There are three primary roles within Atlas:
Factory - Responsible to the content.
Collector - Responsible to the keyword.
Broker - Responsible to the searcher.
Each of these actors must interact with the others to complete any
search request. Any two roles could be performed by a single entity
(whereas if all three are performed by one entity, the result would
be a traditional, monolithic search engine).
A Factory is akin to a crawler in today's search engines. An Atlas
Factory must fetch and process the content as intelligently as
possible, performing analysis (such as Natural Language Processing)
and normalizing it into distinct units. A Factory shares its highly
refined and processed output with one or more Collectors based on who
they believe is best utilizing it.
A Collector absorbs and indexes output from one or more Factories,
with one primary goal: ranking. An Atlas Collector must provide the
most intelligent ranking and relationship analysis possible. A
Collector has to compete for the output of a Factory, as well as
compete to provide the best ranking quality for Brokers.
A Broker must provide a searcher with the best possible results. It
does so by combining diverse ranking results from Collectors and also
by retrieving content from the original Factories. This last step, a
Broker interacting with a Factory, is critical to maintaining a
balanced ecosystem. All Factories must be aware of and approve how
their results are being used and by whom.
Reputation and reward is bi-directional between all parties (Factory-
Collector, Collector-Broker, and Broker-Factory). Each entity may
choose to interact on principle (free, Commons), attribution (results
provided by), or commercially (as a paid service), the Atlas protocol
is purely a facilitator and does not restrict how the relationships
between any entities are formed. In considering these motives for
the various entities, it's likely that the free-based networks will
tend to become more specialized, commercial ones will compete on
quality, and attribution based networks will mature in both directions.
This simple yet powerful division of roles, responsibilities, and
relationships will result in a distributed economic foundation for an
Internet Search Infrastructure. The wire protocol and further
definition of the interactions between these entities is openly
evolving, anyone interested is welcomed to join the discussions and
see the initial proposals at http://lists.wikia.com/mailman
atlas-l over the coming weeks.
Thanks, looking forward to a radically different search ecosystem in
the coming years :)
Jer
mercredi, juin 27, 2007
Bientôt l'Iphone d'Apple !
Source de l'animation 3D : http://www.3dvia.com
NB : Pour visualiser cette animation 3D vous avez besoin du virtool player