dimanche, juin 21, 2009

Sarkozy et l’Université – la revanche personnelle d’un cancre.

Sarkozy, un sous doué à l'Elysée Mais pourquoi tant de haine envers le corps enseignant en général et les chercheurs en particulier ? Tout simplement parce que Notre Majesté souffre du complexe du cancre parvenu.



Président médiocre, il fut par le passé élève médiocre, bachelier médiocre et étudiant médiocre. Mais aucune trace de cette médiocrité dans son curriculum vitae. Et pour cause, il l'a customisé, l'animal.
Officiellement Notre Souverain Eclairé serait titulaire d'une maîtrise de droit privé, d'un certificat d'aptitude à la profession d'avocat, d'un DEA de sciences politiques obtenu avec mention et aurait fait des études à l'Institut d'Etudes politiques de Paris. Waouh ! Mais alors pourquoi est-il aussi nul ? Tout simplement par que la plupart de ces titres universitaires sont faux. Une enquête menée par Alain Garrigou, professeur de sciences politiques à Nanterre le prouve.



En parcourant l'annuaire des anciens élèves de Sciences Po, il a pu constater que Sarkozy de Nagy Bosca n'y figure pas, ce qui signifie qu'il n'a pas mené ses études à leur terme et ne peut donc se parer du titre d'ancien élève réservé aux seuls diplômés. Et son DEA ? Pourquoi n'en trouve-t-on aucune trace dans les archives de Paris X Nanterre ? Tout simplement parce que si le candidat Sarkozy apparaît bien dans le procès verbal de la première session, il est ajourné pour ne pas s'être présenté à l'épreuve écrite terminale et n'avoir pas rendu son mémoire. Et son certificat d'aptitude à la profession d'avocat ? Obtenu sur le fil avec la note médiocre de 20 /40 (7/20 à la première épreuve et 13/20 à la seconde). Mais rappelons aussi, pour compléter le tableau, les notes obtenues au bac par le candidat 18917 en 1973 (Jury 80, lycée Molière) : 7/20 à l'épreuve écrite de français et 12 à l'oral (voilà pourquoi il s'exprime toujours dans un idiome approximatif), 9/20 en philo, 8/20 en maths (il a néanmoins su s'augmenter de 200 % !), 10/20 en anglais ("magnifical" s'exclama-t-il un jour en présence de la reine d'Angleterre) et 11/20 en économie (on n'est pas sorti de la crise !). Avec 142 points sur 300, le médiocre petit candidat fut recalé et fut obligé de se présenter au repêchage.
Ne nous étonnons donc plus des propos méprisants qui sortent donc de la bouche de ce vilain petit personnage médiocre et rancunier qui a tant souffert de ne jamais avoir été reconnu à sa juste valeur par ses professeurs.

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Blog d'Alain Werner